18 Février 2013
"Maman, dis, je peux avoir un animal ?
Je m'en occuperai. Je changerai sa cage ou sa litière, je lui mettrais à manger et à boire. Persévérance mon amie, je vais te découvrir.
Ce serait un super support pédagogique, maman, j'apprendrais ce que mange ou non un animal. Herbivore, carnivore...omnivore...
Pour pas faire défaillir la bête d'une crise cardiaque, je vais devoir apprendre à ne pas crier, à faire doucement, à ne pas lui sauter sur le coin de la tête.
Caresser un animal, ça détend. Je l'ai lu dans pleins d'études tout à fait sérieuses, hein ?
Un animal c'est un compagnon de la première heure, un allié fidèle, qui, a priori, ne trahit pas.
Dis, maman, tu veux bien ?"
Louloute a eu un lapin pour son anniversaire.
Le choix de l'animal s'avère fondamental. Un chat ? Plus jamais, les poils et cie, j'ai donné. Et puis pendant les vacances, c'est bien contraignant.
Pareil pour le chien, en passant les dangers de celui-ci pour bébé. Oui oui, y a des chiens gentils mais un chien reste un chien avec la mâchoire qui va avec.
Le poisson rouge, on a testé. Alors si Louloute pouvait le nourrir (et n'oubliait pas de le faire en petit maître consciencieux) on repassera pour l'interaction avec. Pas passionnant.
Pourquoi le lapin donc ? Parce que peu contraignant, on peut lui faire des câlins, l'odeur est supportable voir inexistante. Pendant les vacances, pas de casse tête pour confier l'animal qui est facilement déplaçable et peu traumatisé. Louloute doit apprendre à se canaliser pour ne pas stresser les pauvres bêtes (bien que calme de nature, le Loulou a ses quarts d'heure de folie). L'animal me semblait un super vecteur d'apprentissage (hé oui quand on chope le virus enseignant, il vos lâche plus).
Alors, les mamans, animal ou pas animal chez vous ?